En janvier 2011, la société a licencié trois cadres supérieurs, les accusant d'avoir vendu des secrets liés à son programme de véhicules électriques à des concurrents chinois. Cependant, l'affaire s'est avérée être une fausse alerte après une enquête approfondie.
Dans ce cas, l'espionnage industriel présumé a déclenché un tollé public et a mis en lumière la vulnérabilité des entreprises françaises face à l'espionnage. Renault a dû payer des millions d'euros en indemnités de licenciement et en dommages et intérêts pour réputation ternie à cause de cette affaire. Cela a également souligné l'importance pour les entreprises de mener des enquêtes approfondies avant de porter des accusations publiques d'espionnage.
Cas Alstom (2014) :
En 2014, la France a été frappée par une autre affaire majeure d'espionnage industriel impliquant Alstom, une multinationale française…
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N/B NOIR ET BLANC (Digital) - 1 Issue, No. 41