Le médicament tecovirimat représentait, avec les vaccins, l’un des principaux espoirs de lutte contre le Mpox. Du moins jusqu’à maintenant. Seul traitement disponible à ce jour, cet antiviral était censé réduire, voire empêcher la propagation du virus dans l’organisme après une contamination. Les spécialistes y voyaient une arme de choix dans l’épidémie de Mpox qui se propage en Afrique centrale, devenue une « urgence sanitaire internationale », dixit l’OMS le 14 août. Las !, le tecovirimat ne semble pas efficace contre le Mpox « clade 1 » et « clade 1b », ce variant inquiétant apparu l’an dernier en République démocratique du Congo (RDC). C’est ce qu’indiquent les résultats préliminaires de l’essai « Palm007 », mené en RDC depuis 2022 par les National Institutes of Health (NIH, Etats-Unis), et dont…
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L'express (Digital) - 1 Issue, No. 3817